Santé au travail : le jeu de piste de l’été

En cette période estivale, les journaux regorgent de jeux en tous genres : les mots fléchés, souvent prisés par ceux qui sont fâchés avec les mots et se persuadent qu’ils les adorent, les Sudokus, souvent prisés par ceux qui sont fâchés avec les chiffres et se persuadent qu’ils en raffolent, et bien d’autres encore, censés permettre à tous ceux qui en ont réellement plus qu’assez et des chiffres et des mots, de passer le temps en attendant justement que le temps s’améliore…

Alors, je me suis dit que je pouvais y aller aussi de mon jeu, un jeu auquel tout le monde peut jouer, un jeu tout simple, un jeu classique, un « vieux jeu » offert à ceux qui ne le sont pas, un jeu de piste personnel, préparé pour vous personnellement, un peu à la manière de la dernière enquête du Commissaire Montalbano, en Sicile, la semaine dernière sur la 3 : il faut bien se distraire !

D’autant que j’ai lu quelque part, récemment, que la Santé au travail pouvait être « ludique ». Alors, je m’y essaye…

Pour « trouver le trésor », deux parcours, calibrés en fonction du temps dont vous disposez et de votre degré de curiosité :

Note importante : n’oubliez pas, après la découverte d’une nouvelle page, de revenir à la page précédente afin de continuer le parcours.

Parcours express (réservé aux gens pressés)

Sept clics suffisent pour collecter les indices et arriver au but

Parcours touristique (fortement recommandé pour ne rien perdre des détails de la piste et de son environnement)

Dans ce parcours, on prend son temps, on flâne, on découvre…

Le principe est simple : vous êtes guidé jusqu’à l’arrivée à la condition de suivre scrupuleusement le chemin proposé, et d’examiner soigneusement tous les indices, évidemment choisis et testés pour leur pertinence avant de vous être proposés.

Un indice à chaque adresse, une adresse par étape, que je vous invite à visiter soigneusement avant de passer à l’étape suivante.

  • Pour le point de départ, un endroit sérieux, sérieux et bien fréquenté : cliquer ici
  • En fait, ce n’était pas le point de départ mais le point de rassemblement, juste pour faire vraiment sérieux. Pour le vrai point de départ, cliquer ici.
  • Vous avez bien observé le premier indice ? OK. Alors, rendez-vous à la première halte. C’est ici.
  • Vous avez bien vu, bien lu ? Vous êtes paré pour la suite ? En route pour la prochaine adresse, où nous allons nous retrouver dans un instant.
  • Vous ne m’y avez pas rencontré ? Normal. En fait, je n’ai rien à y faire. Un souvenir ancien fait que je n’y ai pas ma place. Toutes mes excuses pour ce contretemps… Pour en savoir plus, cliquer ici.
  • Vous voulez mieux connaître ceux qui fréquentent votre étape précédente ? Alors, rendez-vous tout de suite pour un nouvel indice, que vous trouverez ici.
  • Pénétrez-vous bien de l’ambiance qui y règne en faisant deux courtes excursions. Ici et

Ne perdez pas patience, nous y sommes presque. Plus que trois étapes et trois indices avant de toucher au but.

Voilà, vous y êtes. Vous venez de pénétrer dans un édifice bien visible depuis plusieurs mois, qui vous avait peut-être échappé et dont je vous invite à examiner l’architecture, qui éclaire le parcours et que le parcours met lui-même en pleine lumière…

J’espère vous avoir fait passer un moment agréable, ludique et… instructif.

Si certains éléments vous manquent ou si vous souhaitez des explications plus détaillées, n’hésitez pas : appelez-moi.

Vous pouvez être assuré de ma réponse et de ma discrétion…

Bonnes vacances.

Gabriel Paillereau

Copyright epHYGIE août 2011

Tous droits réservés

PS : je proposerai mon propre « carnet de voyage » dans un prochain numéro.

2 Comments

poquet

Bonjour,

Merci pour votre travail courageux et qui fait sens !

Continuez à laisser la lumière allumée dans la nuit, et, même si nous ne partageons pas la même destination, il est toujours bon d’avoir des compagnons de voyage lucides et objectifs (sans oublier un brin d’humour) si tant est que l’on puisse l’être (on pourra relire avec intérêt les ouvrages et articles de Didier Fassin au sujet de l’anthroplogie morale).

Le débat mérite d’être ouvert et doit pouvoir trouver son Agora !

Bonne continuation,

Bien à vous.

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